L'histoire où personne n'en sait rien et n'y comprend rien

Lorsque je me reveilla, tout atour de moi était flou.
Peu après, quand j'eu repris conscience, j'ai remarqué que j'était couché dans une magnifique forêt, il devait être environ midi.
Il y avait une foule qui commençait à s'approcher, ces personnes avaient des oreilles pointues et les adultes mesuraient tous à peu près deux mètres.
Ils avaient l'air pacifique.

hj : ce sont des elfes?

hj : je n'en sais rien, mais on peut le penser, ce n'est pas à moi de continuer cette histoire.

hj : je fais un autre perso

Je m'avançais vers cet étrange personnage. Il faisait environ ma taille (j'étais plus petit que la normale). Je le regardais longtemps, lorsque je le vit se reveiller.
- Ca va ? lui demandai-je.
Il ne semblait pas me comprendre, nous ne parlions sans doute pas la même langue.

Ils parlaient une langue qui m'était inconnue.
Je me releva et leur demanda où j'étais, mais, comme je m'y attendais, ils n'y comprirentt strictement rien.

Voyant l'individu gesticuler dans tout les sens en parlant une langue inconnue, je ne sus comment réagir.
Je finit par me désigner du doigt et dire:
- Al.
Je le regardais d'un air interrogatif.

L'homme sortit des feuillages.
Et il dit dans les deux langes différentes:
-Le destin a voulu que vous vous rencontriez maintenant vous devez faire équipe. Le destin le veut quoi que vous pensiez. Une épopé vous attend. Mais attention aux divers obstacles qui se metteront sur votre route.

- Qui es tu? demandai-je.
Je ne comprenais pas ce qui se passait. Un inconnu tombait du ciel, un autre sortait des feuilles...Mon peuple me pressait de questions, pour savoir ce qui se passait, mais je n'en savais rien.

L'homme vétu d'une tunique noire disparu sans dire un mot.

- Qui es tu ? demandai-je a l'inconnu.
Je savais qu'il ne me comprendrais pas, mais j'éprouvais le besoin de parler. Je me désigna à nouveau et dit :
-Al.
J'esperais que l'homme aurait compris.

L'homme réaparue dérrière Al et lui dit dans l'oreille:
-Il est ton autre....

Je me retournai vivement et dit :
- Mon autre?
Mais l'homme était déjà sortit de ma vue.

Je n'y comprenais rien, le flou envahissait ma vue, après quelques secondes j'étais de nouveau dans les pommes.

je vis l'homme s'évanouir. Je me retournai alors vers le chef du village et lui suggérai :
- Nous devrions l'emmener au village. Il est innofensif, je pense.
Le chef acquiesca. Deux soldats soulevèrent le corps de l'homme, et l'emmnèrent au village.

Lorsque je me réveilla, une foule s'était encore approchée, et Al était toujours parmi eux.

Je demandais à la foule amassée à l'entrée du temple de l'éloigner. Il reculèrent, et la pièce s'éclaircit, laissant passer les rayons du soleil. Je tendis à l'inconnu une assiette de vivres.

J'étais affamé. Je pris ce que Al me donnais et je mangea.

La foule s'étais à nouveau agglutinée contre la porte. Je me retournai et leur lançai :
- Que faîtes vous encore ici? Vous devriez être au travail !
- Mais, prêtre, qui es cet humain? demanda un enfant.
Je leur répondis de repasser plus tard dans la journée, et de m'envoyer Gita, une vieille femme dont les conseils sages m'ont toujours été utile.

Je demanda à boire en mimant le geste.

Je lui tendis un verre. La sage Gita arriva et s'installa.
- Eh bien, Al, que puis-je faire pour toi?
- J'ai besoin de vos conseils avisés. Je ne sais qui es cet étranger. Il ne semble pas comprendre ce que je lui demande.
- Il vient de loin, comme toi.
Elle me troubla. Il est vrai que je n'étais pas né au village, mais c'est ici que j'avais grandi, et tous me considéraient comme un vrai Manarkien.

Je me mis debout et demanda à la nouvelle personne où j'étais tombé.

Je ne compris rien à ce qu'il me demandait. Je repris donc la phase présentation.
Je me désignais :" Al. "
Gita se montra : " Gita. "
Nous le désignèrent tout les deux, attendant une réponse.

Je me montra du doigt :
-Kayl

enfin nous progressions. Je montrais l'endroit autour de moi et dit :
- Manarkia.

L'inconnu apparait alors dans la salle.
- Vous faites des gros effort mais je crois que le moment et venu pour vous de subir un petit test.

Dehors des gens criaient.

-J'ai fait apparaitre des monstres defendez les villageois ou tout le monde mourra.

Je comprenais ce que l'homme disait, je pris le pistolet attaché à ma ceinture et couru dehors, voyant d'ignobles créatures attaquer le village.

Je saisit mon baton, et sortit dehors. Je demandai à Gita de réunir tout le monde au temple. Enfi, je me plaça à côté de Kayl, et commença à me battre.

Le village était en feu, les monstres étaient aux moins une douzaine.
Je remarqua qu'aucun habitant du village n'avait d'arme à feu.

Les hommes du village avaient sorti leurs épées. Ils se jettèrent sur les monstres, et en tranchèrent un ou deux.

Je tirais sur les monstres, remarquant qu'ils se défendaient beaucoup moins bien sans leurs tête.

hj : c'est normal, vu qu'ils sont morts !!!

Je récitai une formule, et lançai un sort. Deux monstes prirent feu. Il ne restait plus qu'un ennemi.

L'homme observait la scène au loin.
Il sont pitoyables. Des petits monstres comme sa se tuent en un claquement de doigts.
L'homme claqua dans ses doigts et fit disparaitre tout les monstres.

hj:y'en a encore plein qui arrivait dans votre direction.

Je vis les monstres disparaitre d'un coup. Je ne compris pas pourquoi.
- Que s'est-t-il passé? demanda un villageois.
- Je ne saurais vous répondre, dis-je. Y a-t-il des blessés?
Je me rendis au temple et soigna les blessures.

Je comprenais de moins en moins, je rangea mon pistolet et alla dans le temple pour aider Al à soigner les blessés.

Je vis Kayl rentrer dans la salle, et l'inspecta rapidement. Il ne semblait pas blessé.

Je pris la trousse de secours attachée à ma ceinture et la passa à Al, espérant qu'il saurait quoi en faire.

Je posai la trousse de secours de Kayl. Je saisis le bras endommagé d'un villageois, récitai une formule, et soigna le bras. Les villageois défilèrent devant moi, jusqu'à ce que j'en arrive au dernier.

Remarquant que j'étais totalement à la masse, je décidai de prendre l'air.

Je rejoignis Kayl dehors lorsque j'eu fini.

Je ramarquai que Al m'avais suivi.

- D'ou viens tu? Comment es-tu arrivé? lui demandai-je.
Je savais qu'il ne comprendrais pas. Aussi, j'entreprit de lui apprendre les base de notre langue. Je désigna le ciel, et prononça le mot qui le désignait.

Je répétai le mot .

Ensuite, je montra le sol, et dit le mot.

Après 2 mois, je savais parler leur langue.

La vie avait reprit son cours normal au vilage.

J'étais devenu chasseur et j'aidais à nourrir les villageois.

Je rendais souvent visite à Gita, et lui apportait mes soins. Elle se faisait vieille. Un soir, elle me retint chez elle.
- Je devient vieille, Al, je n'en ai plus pour longtemps...
- Que dites-vous Gita ? Je vais vous soigner, et bientot vous irez mieux !
Mais je savais que ce n'était pas vrai. Rien ne pouvait soigner la maladie de Gita.

Le village était de nouveau attaqué par des monstres.
Certainement un coup de cet inconnu, pensai-je.
Je courus prévenir Al pour qu'il vienne nous aider à défendre le village.

J'entendis des cris au dehors. Je me précipita vers la porte, mais Gita m'arreta.
- Tiens Al. C'est la fin pour moi. J'ai étré très heureuse de t'avoir rencontré...Alucard Hellsing...le dernier des vampires...
Elle mourut. Ses dernière paroles m'avaient troublé. Elle m'avait donné une petite montre dorée.Je la mis dans la poche.
- Gita...
Je ne m'en rendais pas compte, mais je pleurais. J'aurais voulu qu'elle m'en dise plus sur mes origines.

J'apparus alors.
-Oui c'est bien moi qui a emmené les monstres dans votre village. C'est pour tester votre force et j'ai remarqué que vous étiez pitoyablement faible le dernier coup.