Titre a définir

L'ombre grandissante s'approcha lentement, trés lentement et j'étais là au centre de la lumière. Les ténèbres s'approchèrent toujours, il devenait de plus en plus grand et la lumière, elle disparaissait de plus en plus.
C'est fini, je sens les ténèbres m'envahir, je ne vois plus rien, le noir est partout et je ne peux plus bouger....Une voix dans ma tête:"Tu n'as pas à avoir peur, tu es notre élu......"

BIP BIP BIP BIP.
Le reveil sonna, il été affiché 7h00. j'étais en sueur et d'un coup j'oubliais l'étrange rève, je me leva, me lava, prit un petit déjeuné et sortit pour me rendre à mon travail.
je m'appelle Yuji Yogoro, jeune homme de 21 ans qui travaille dans un supermarché.
Je marchais donc pour me rendre au boulot et sur le chemin je sentit une présence étrange qui me procurais une sensation inhabituelle.

Une jeune femme l'observait du haut du toit d'un immeuble. Elle avait des cheveux blanc, gardés en arrière par un cerre-tete rouge, et des yeux rouges. Sa peau était presque blanche. Elle avait de longues canines, et des oreille un peu pointues. Elle avait l'air fier. Elle portait un débardeur rouge, sur un baggie noir, et une ceinture brune. de nombreuses chainettes pendaient de sa ceinture, et finissaient dans ses nombreuses poches.
- C'est lui, se dit-elle à elle meme.
Et elle sauta du toit de l'immeuble à un autre toit, pour suivre son trajet.

Je continuais ma route mais la sensation restait en moi et je n'arrivais pas a la faire partir.j'arrivais enfin devant le supermarché et pmis le costume qui m'était attitré pour travaillé. et je commenca a ranger des produit dans de rayons et je repondais aux demandes des clients qui ne savaient pas dans quel rayton il fallait chercher pour trouver tel ou tel produit.

La jeune femme sauta du haut de l'immeuble ou elle se trouvait, et atterit dans une petite ruelle sombre. Elle sortit dans la rue, et se rendit au supermarché. Elle chercha Yuji, et lui demanda, d'une voix douce :
- Excusez moi, monsieur, ou puis-je trouver de la teinture pour les cheveux ?

je ressentis soudainement encore cette drole de sensation et je répondis à la femme:
-C'est le deuxieme rayon à gauche.
je partit donc vite dans le local des personnel et me mis assis, je ne pouvais plus tenir debout, c'est comme si mon corps s'était vidé de son énergie. un employé me vit et me dit:
-Qu'est ce qui ne vas pas?
Et je lui répondit que j'était malade et qu'il vfallait mieux que je rentre chez moi.

Elle se rendit au rayon indiqué, et prit une teinture noire pour les cheveux. Elle paya à la caisse, puis attendit dans un café en face du magasin que Yuji sorte.
"J'en ai pour un bon moment..."
Elle commanda un verre d'eau qu'elle ne but pas, et attendit.

je sortit du magasin et essaya de marcher pour rentrer chez moi, mais la douleur que me donnait cette étrange sensation devenait de plus en plus insupportable et je m'évanouis au milieu de la rue, sur le trottoire.

"déja ? " se dit la jeune femme aux cheveux blancs. Elle se leva et rejoignit Yuji, qui était étendu sur le trottoir. Personne ne semblait l'avoir remarqué. Bien qu'il semblait peser pas mal de kilos ( un poids normal pour quelqu'un de 21 ans ) la jeune femme le souleva sans aucune difficultés. Elle le cala sur son épaule, et se rendit dans les docks du port. Elle chercha l'entrepot numéro 13, et rentra à l'intérieur. Elle déposa Yuji sur un lit de fortune, et prépara du café sur un réchaud. Puis, elle s'installa sur une poutre métallique, loin au dessus de lui, et attendit qu'il se réveille.

-Allez Yuji essaye de m'attraper, allez.....
-Attends moi Reï Ahhhaaahhhhaaa
Rei, ou te caches tu ?Réponds moi.......

la nuit tomba brusquement alors qu'il n'était que deux heures de l'aprés midi, mais que se passe t-il? le sol disparaissait et je ne trouvais pas Reï.
-Reï ou es tu? REIIIIIIIII

Yuji se réveilla brusquement et se mis assis.
-Mais ou suis-je?
Puis il ressentis immédiatement la précense de quelqqu'un.
-Qui est là?

- Enfin tu te réveilles... ca fait une heure que tu dors.
La femme sauta de sa poutre métallique. Elle saisit la thermos, et servit tasse de café qu'elle tendit à Yuji.
- Tiens, bois ca, ca te remonteras.
Elle s'assit par terre, et le regarda.

je prit la tasse et demanda a la femme.
-Qui êtes vous? C'est donc votre présence que je ressantait. . . . mais je vous reconnais vous m'avez demander ou se trouvait les teintures au supermarché.
je bus un peu une petite gorgé de café.
-Que me voullez vous?

- Qui je suis, tu n'as pas besoin de le savoir, lui répondit la femme. et tu n'as pas besoin de savoir non plus ce que je te veux. contentes-toi de faire ce que je te dis, si tu veux rester en vie, bien sur. Merci pour la teinture, au fait.
Elle se leva, et regarda autour d'elle.
- De toute facon, je ne dirais rien ici. on ne sait jamais s'il n'y a pas quelq'un caché quelque part... dépêche toi de boire ton café, et suit moi.

-Et pourquoi je vous suivrais?
je prit la tasse et lanca le café sur la femme et je m'enfuis de l'entrepot en courant a vive allure.
"Qui est-elle, je ne tarderais pas a le savoir je le sens".

La femme ne bougea meme pas.
" Idiot ! tu ne m'écoutes donc pas ? "
Elle ramassa la tasse, et nettoya le café. Puis, elle se mit à marcher lentement dans les traces de Yuji.
" Si tu crois pouvoir me semer, tu t'es trompé ! ton odeur est si forte, que meme un humain comme toi peut la sentir... "
Elle sourit, et éclata d'un rire sonore.

Je courait de toutes mes forces pour échapper a la femme même si j'avais le sentiment que c'était impossible. Je rentra chez moi et m'enferma , je ferma tous les rideau et alluma les lumières. J'attendait...

La femme prit tout son temps pour aller chez Yuji. elle gravit lentement les marches craquantes de l'escalier, et se retrouva devant sa porte. Elle frappa trois petits coups, et s'exclama :
- allez, ouvre, je sais que tu es la. ca sert a rien de te cacher, je te retrouverai ou ke tu ailles ! j'ai un boulot a faire, et j'ai besoin de toi !!!

Yuji ouvrit la porte brusquement et projeta la femme en un coup de poing puis il dit d'une voix grave et inhabituelle:
-Je n'ai pas besoin de toi, tu n'es qu'une marionnette et tu ne peux rien contre moi.

la femme fut projettée contre le mur.
- tu n'es pas dans ton état normal...laisse moi te guider, sinon, tu sera perdu lorsque tu nous rejoindras...souffla-t-elle.
Elle se releva.

-Faut t'il que je te parle en jap pour que tu comprennes, je n'ai pas besoin de toi.

Yuji dans un mouvement rapide s'approcha de la fille.
-Dis moi ton nom et prénom!

- Je ne suis pas n'importe qui, je suis la comtesse Victoria Hargreaves !!! et je ne te lacherais pas d'une semelle, mon Maitre m'a ordonner de te ramener.
La jeune femme le défia du regard.
- Et par n'importe quels moyens.

-Tu n'es qu'un point sur un échequier, tu ne sert à rien du tout.

Yuji se précipita sur Victoria et l'assoma.
Yuji courut ensuite pour partir loin de l'endroit ou il était. Une heure passa et Yuji était trés loin, il s'allongea et s'endormit.

<-laissez moi sortir, vous n'avez pas le droit de me faire sa.
Un homme vétu de noir apparu des ténèbres. c'est bon tu peux partirmais fait attention je reviendrais.>

Victoria était allongée sur le palier de chez Yuji. La porte de l'appartement était grand ouverte. En tombant, elle s'était coupé au bras : du sang s'écoulait lentement de la blessure, rouge et fluide. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, il y avait déjà une petite flaque. Elle lécha son bras, ainsi que la flaque au sol.
" il ne vaut mieux pas laisser trainer mon sang ici haut..."
Puis, elle se releva et parcourut l'appartement de Yuji. Elle était encore faible. Au bout d'un moment, elle prit la clé qui trainait sur une commode, sortit, puis ferma la porte. Elle descendit dans la rue, évitant la foule.
" je ne le retrouverais pas tout de suite...mieux vaut revenir dans quelques jours."
Et elle disparut dans la foule qui se ruait sur les dernières nouveautés d'un magasin célèbre.

Yuji se reveilla en sueur, mais il ne savait pas où il était. Il se leva et marcha pour essayer de trouver un moyen de rentrer chez lui, il prit donc les transports en communs. Une fois arrivé chez lui il remarque que la porte est brisé , il se demanda donc se qui avait bien put se paser. il rentra chez lui en prenant garde a tous danger.
Aprés avoir vérifié si il n'y avait personne, yuji s'assit dans son fauteil et alluma la télé.

"flash spécial: un acte téroriste nous a été signalé il y a environ deux minutes dans une bouche de métro. On ne connais pas encore le nombre de vioctime mazis il y aura surement beaucoup de mort et de blessé grave. en attendant tous les transports sont perturbé et risque de se rétablir seulement dans quelques heures.
Ohh non malheure, on vient de' me signaler qu'un deuxieme attentat dans une bouche de métro vbient juste d'être commis à l'autre bout de la ville. Mais que se passe t'il? Je demande donc de la part du maire, que les habitants de' la petite ville ne panique pas et restent tranquillement chez jusqu'a nouvel ordre.

C'était karla Brunni sur NNT TV et tout de suite n'oubliez pas le nouvel épisode palpitant de Vacance et confidence."

yuji aprés ce flash spécial éteignit la télé et monta dans sa chambre. la fenetre était rester ouverte. il la ferma et retourna sur le canapé et rallumaz la télé sur une autre chaine....

Victoria sortit revigorée d'une bouche de métro. Son visage était barbouillé de sang. Elle semblait de mauvaise humeur, car elle tordit plusieurs poteaux électriques d'un coup de poing. En effet, elle avait recut la visite d'un de ses supérieurs, et avait été réprimandée, car elle n'avait pas encore accompli sa mission. Elle marcha alors rapidement vers la mairie, pour exécuter le plan B que son Maitre avait prévut. Arrivée sur place, après s'etre néttoyée le visage, elle demanda à voir le Maire, seule à seul. Il la reçut dans son bureau, ou elle s'installa tranquillement sur un fauteuil.
- Bonjour, mademoiselle. que puis-je pour vous ? faites vite, je n'ai guère le temps de m'attarder avec vous, bien que je l'aurai volontiers fait. Le regard du maire s'attarda sur le décolleté de Victoria. Puis il fixa ses yeux.
Elle s'approcha de lui doucement, et dit d'une voix faible :
- Je vous demanderais juste de collaborer avec mon Maitre...
Elle sourit. Le Maire accepta. Mais il demanda quand meme :
- Qui est votre Maitre ?
La jeune femme ne répondit pas à la question, et s'approcha de lui. Il crut qu'elle allait l'embrasser, mais elle lui mordit le cou.
- Ca ne te servirait à rien de le savoir. Maintenant, tu n'es plus qu'une goule dénué de vie...et je suis ton Maitre. Alors obéit.
Le maire resta assit, perplexe sur son fauteuil. Sa peau était devenue plus clair, et il n'y avait plus d'éclat dans ses yeux. Il semblait désormais incapable de réfléchir.
Victoria le quitta, et se rendit chez Yuji.

Victoria entra par une des fenetres.
- Alors, tu es revenu chez toi ?
Elle lui sourit, d'un air un peu sadique.
- Catte fois ci, tu vas m'accompagner. J'en ai marre de te courir après...
elle lui attrapa le bras, en serrant fort, et commenca a se diriger vers la porte.

Yuji se débatait mais cette "folle" lui serrait trop fort le bras.
-Où m'emmenai vous? Et pourquoi vous me harceler comme sa? Je ne vous ai rien fait.

Yuji se débatit mais rien n'y fait la femme avait une trop grande force. Au bout de quelques instant Yuji perdit connaissance. Ses yeux se fermèrent et sa tête tomba. Tous son corp s'étala sur le sol.

Victoria lacha le bras de Yuji. il retomba mollement parterre.- eh voila, il manquait plus que ça... alala, ces humains...
Victoria cala le corps inerte de Yuji sur ses épaules, comme s'il s'agissait d'un vulgaire sac, et commenca a descendre les escaliers.
" une bonne chose de faite ! le Maitre sera content de moi ! " pensa-t-elle.

Yuji ne se reveillait toujours pas tandit que Victoria avança de plus en plus dans la rue.

victoria continuait de marcher, lorsque un policier l'interpella.
- que faites vous mademoiselle ?
- j'ammene ce jeune homme chez un ami, pourquoi ?
- je vous priprais de me suivre, mademoiselle. eh ! je vous ai dit de me suivre !
Le policier poursuivit Victoria qui s'était enfuie pendant qu'il lui parlait. Elle le perdit dans le dédale des ruelles dombres et étroites.
" bon, ou suis-je maintenant ? tsss, je me suis perdue moi meme !!! " pensa-t-elle. Elle déboucha sur une place, juste en face de la mairie. " oh non ! je suis a l'opposé... " pensa-t-elle encore.